


« … au contraire, la romancière peut donner libre cours à ses songes, et ses livres sont autant d’occasion de nous plonger au cœur d’une nature hallucinante, primitive, suggérée avec un sens poétique et une persuasion qui font de Monique Watteau un écrivain envoûtant, qui ne ressemble à nul autre. »
André Bourin, Le Figaro littéraire, octobre 1958





« Mais peut-être que Monique-Alika Watteau n’est pas de ce monde, car elle appartient tout entière à cet autre monde au sein duquel tous les règnes se confondent et ne font qu’un pour nous pénétrer de leur troublant mystère et nous élever vers une chevauchée à travers l’infini de nous-mêmes. »
Marc Eemans
Voici une femme. C’est un scandale. Et il ne lui suffit pas d’être ! Il faut encore que, du fond de son exil, elle se manifeste ! Qu’elle propose à notre regard que voient ses yeux capables de fixer le soleil et de percer la nuit ! C’est un monde envahi par la moiteur des mythes primitifs, vaguement éclairés par les signes que font les eaux, les pierres, les plantes et les bêtes, et parcouru d’un bout à l’autre par le cri panique des sexes : le monde que l’on n’ose lire dans la prunelle des chats.
Que vient faire cette Alika dans notre société de cérébraux en quête de structures ultimes ? Dans notre compagnie de prêtrise abstraite ? Qu’est-ce que cette profonde voix des racines ? Etreignons la tout de même au passage : elle est belle dans sa chemise soufrée. »
Louis Pauwels

